Aux alentours des ruelles, à chaque coin de rue. Partout où l’on ne regarde pas.
Dans chaque pierre, dans chaque reflets, l’essence des lieux.
Une balade, un reportage, à la mémoire de ce doux coin de mer Adriatique.
Poligniano m’a charmé.
Ses drôles de façades, son linge propre aux fenêtres.
Une douche au gant de toilettes à la fontaine d’eau fraîche, et l’air de la mer.
De simples volets, de simples fenêtres ouvertes.
Cette simplicité belle.
Je ne sais pas pourquoi je trouve certaines choses aussi belles. Certaines choses aussi simples, banales, si belles. Si c’est parce qu’il y a quelque chose dans ces reflets, dans cette couleur et cette pierre. Si c’est parce que j’ai simplement levé la tête. Ou si c’est parce-que mon imaginaire, chaque fois, aime à penser à la vie derrière chaque chose que je vois. A cette personne qui ce matin là à pousser ces volets là. Dans la simplicité d’un moment de vie, d’un nouveau matin.
Poligniano a Mare.
Falaise apprivoisée.
Jusqu’à la dernière parcelle de terre, jusqu’à la mer.